Depuis le
début de la révolution syrienne en mars 2011, et malgré la couverture
médiatique française des atrocités faites au peuple syrien par le régime
al-Assad, il est toujours étonnant de constater le peu d'initiatives de
solidarité de la société civile avec les Syriens, et le silence de la grande
majorité des intellectuels et artistes français (et occidentaux) qui ont
souvent été des « avant-gardistes » dans le soutien aux révolutions
et aux causes de liberté à travers le monde. Par Nadia Aissaoui et Ziad Majed pour Mediapart.fr