Il y a eu, ces dernières années, celles et ceux qui se mobilisaient pour la Palestine, mais ne voyaient pas la Syrie sur la carte, ni le sang des centaines de milliers de syriens et de palestiniens de Syrie qui coulait à Alep, à Homs, à Yarmouk, dans la Ghouta de Damas et à Idlib.
Et puis il y a eu celles et ceux qui se mobilisaient pour la
Palestine, s'opposaient aux massacres de Bachar Al-Assad, mais ne disaient pas
un mot sur les acteurs qui permettaient à Bachar de survivre et de commettre
ses massacres: la Russie, l'Iran et le Hezbollah libanais.
Aujourd'hui, il y a celles et ceux qui se sont mobilisés
pour la Syrie, mais qui restent muets sur la Palestine et sur les crimes de
guerre, l’occupation, la colonisation et l’Apartheid Israéliens.
Est-il si difficile d’être constant/cohérent dans les positions politiques et éthiques et de considérer que les droits humains, la fin de l'oppression et de l'impunité sont les principes qui doivent guider ces positions ?
In recent years, there have been those who mobilized for Palestine, but did not see Syria on the map, nor the blood of hundreds of thousands of Syrians and Palestinians in Syria that flowed in Aleppo, Homs, Yarmouk, the Ghouta of Damascus and Idlib.
And then there were those who mobilized for Palestine,
condemned the massacres of Bashar Al-Assad, but did not say a word about the
actors who allowed Bashar to survive and commit his massacres: Russia, Iran and
the Lebanese Hezbollah.
Today, there are those who were mobilized for Syria, but who
remain silent on Palestine and on Israeli war crimes, occupation, colonial
expansion and Apartheid.
Is it so difficult to be consistent and coherent in
political and ethical positions and to consider that human rights, the end of
oppression and impunity are the principles that should guide all stances?
ZM