Plus de six mois après le début de la révolution syrienne, retour sur un certain nombre de caractéristiques portant tant sur son déroulement, ses soulèvements que sur la façon dont le régime essaie de l’anéantir. Elles font l’exceptionnalité de cette révolution dans le printemps arabe… Un article de Nadia Aissaoui et Ziad Majed - Mediapart.fr
dimanche 25 septembre 2011
vendredi 23 septembre 2011
The Exceptionalism of the Syrian Revolution
Today, more than six months since the inception of the Syrian
revolution, we can extract a number of conclusions from its daily events and
from the ways that the regime has dealt with it, in order to determine the
extent of its exceptionality in the Arab Spring, by Ziad Majed
samedi 17 septembre 2011
Face au «printemps arabe», quid de l'Algérie ?
Beaucoup d’observateurs s’interrogent sur le sort du régime
algérien dans un contexte régional qui a vu des régimes arabes indéboulonnables
tomber les uns après les autres ou entamer des réformes tout azimut pour calmer
la colère de leurs peuples.
Le printemps arabe sème le
trouble auprès des dirigeants politiques dans toute la région et réveille les
consciences. Quelles répercussions
a-t-il eu en Algérie ? Nadia Aissaoui et Ziad Majed pour Mediapart.fr
samedi 10 septembre 2011
Les soutiens du régime syrien
Après
plus de six mois de contestations populaires pacifiques, le régime syrien
tremble, mais s’accroche toujours au pouvoir à coup de répression féroce et de
crimes contre l’Humanité. S’il arrive encore à se maintenir, c’est surtout
grâce à des alliances internes et externes dont il sert les intérêts et partage
parfois une vision de la politique et du pouvoir. Chronique de Nadia Aissaoui et Ziad Majed
pour Mediapart.fr
dimanche 4 septembre 2011
La révolution syrienne: la liberté sinon rien
Au vu des ressemblances entre le régime libyen et le régime syrien, la chute de Kadhafi après 42 années de dictature a renforcé la motivation des révolutionnaires syriens. Ces derniers continuent, pacifiquement, à confronter un régime de plus en plus sanguinaire. Nadia Aissaoui et Ziad Majed pour Mediapart.fr